Ce match, il s’était promis de le jouer à fond. Sans stress, ni retenue ! “Certains jouent des finales tous les ans, moi ça fait 36 ans que j’attends”, avait-il avoué au soir de la demi-finale gagnée contre Lorient (4-0). Bertrand Laquait espérait vivre, hier soir, l’apothéose d’une carrière chaotique, lui qui n’a pas été épargné par les blessures depuis ses débuts du côté de Nancy en 1999.